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170résultats trouvés : commune Saint-Jean-en-Royans, entre le 25/08/2017 et le 24/08/2022. Les 7 derniers jours. YM. Publié le 16/08/2022 Madame Yvette MEUNIER - 87 ans. Saint-Jean-en-Royans (26) Avis paru sur le site de notre partenaire. Les 30 derniers jours. RB. Publié le 15/08/2022 Madame Renée BOREL - 91 ans. Saint-Jean-en-Royans (26) Avis paru sur le
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pzrm. Prix moyen des obsèques dans le département de la Drôme À savoir dans le département de la Drôme Remplissez le formulaire et comparez les devis gratuit des pompes funèbres près de chez vous Comparer Vous venez de perdre un de vos proches habitant dans le 26. Vous vous souciez de l’organisation des obsèques et êtes à la recherche d’une agence de pompes funèbres toute proche, sachant que dans votre douleur, vous ne pouvez pas assumer toutes les démarches sans son intervention. Cette page va vous aider à retrouver facilement l’opérateur de pompes funèbres qui peut vous épauler pour le bon déroulement des funérailles. Prix moyen des obsèques dans le département de la Drôme Tarifs moyens pour l'inhumation Voir le détail Tarifs moyens pour la crémation Voir le détail *sources À savoir dans le département de la Drôme Ce qu’il faut savoir sur les pompes funèbres dans la Drôme Les Drômois peuvent organiser à l’avance leurs funérailles en souscrivant une assurance décès. Si vous êtes à la recherche d’un opérateur de pompes funèbres pour votre information personnelle ou que vous avez une famille décédée dans la région, cette page est conçue pour vous aider dans vos démarches. Elle vous décrira tout ce qu’il faut connaître sur les funérailles et leurs préparations, suffisamment d’informations pour vous aider à choisir l’agence à qui vous allez vous confier. Les meilleurs tarifs de pompes funèbres dans le 26 Organiser des pompes funèbres n’est pas chose facile tant en termes aussi bien en termes d’organisation que de budget. Pour les Drômois, il s’agit de trouver parmi les 97 opérateurs du département, celui qui pourra correspondre à ses attentes. Ces professionnels mettent à leur disposition divers services parmi lesquels ils pourront choisir pour profiter de plusieurs prestations spécifiques. Chaque opérateur est libre de fixer ses propres tarifs selon ses expériences, la qualité de ses services, son emplacement géographique et le type de sépulture. Les tarifs peuvent être ainsi différents même pour le même service. Plusieurs critères sont donc à considérer pour choisir une entreprise de pompes funèbres. Le budget moyen nécessaire pour organiser des pompes funèbres dans la Drôme se situe entre 2 100 et 4 950 €. Si le budget est assez restreint, vous pouvez faire appel à une agence dès 1 500 €. Mais vous pouvez vous limiter aux services obligatoires comme la mise à disposition du cercueil, le transfert du corps, la mise en bière et la fourniture du corbillard pour un prix discount de 790 €. Les autres services optionnels déterminent le coût réel du contrat ; parmi ces prestations, notons la prise en charge des procédures administratives et démarches règlementaires, les faire-part et cartes de visite, les ornements funéraires, l’organisation de la cérémonie religieuse, le toilettage du défunt, la location de funérarium… le coût de la cérémonie est plus onéreuse si toutes ces prestations sont retenues. L’enseigne sera d’autant plus moins chère si l’on s’en tient à l’essentiel, sans toute fois aller à l’encontre des souhaits du défunt. Avant de signer un contrat, il serait primordial de demander les devis, et cette démarche est gratuite en ligne. Ensuite, vous pourrez comparer facilement les différents tarifs grâce au tarificateur en ligne. Par ce procédé, vous ne tarderez pas à vous fixer rapidement sachant que les obsèques doivent se tenir dans les 6 jours qui suivent le décès. Les pompes funèbres et les rites religieux dans la Drôme Parmi les 97 agences de pompes funèbres qui exercent dans la Drôme, vous retrouverez facilement celles qui prennent en considération votre confession, qu’elle soit chrétienne, islamique, judaïque, bouddhiste, orthodoxe… Ils disposent des moyens et des expériences nécessaires pour répondre à vos exigences. Les pompes funèbres musulmanes dans le 26 Les rituels de pompes funèbres islamiques s’appuient sur le coran. Les opérateurs de pompes funèbres musulmanes de la Drôme proposent des services funéraires qui respectent ces rites et leurs nombres ne sont pas négligeables, car la religion musulmane est considérée comme étant la 2èmereligion en France après le christianisme. Ces opérateurs spécialisés se chargent de toute l’organisation des funérailles, dont l’inhumation dans un carré musulman ou le transfert du corps dans son pays d’origine. Les pompes funèbres juives dans la Drôme Si vous êtes de confession juive, vous pourrez trouver facilement dans le 26 un opérateur de pompes funèbres qui respectent les rituels judaïques entre autres le respect du corps et de son intégrité. Le don du corps à la science ainsi que la crémation sont interdits. La cérémonie d’obsèques se passe dans la sobriété. La sépulture n’est pas décorée. Le coût d’un enterrement dans le 26 Il existe 3 types de sépultures ; l’inhumation, l’incinération et le don du corps à la science. L’inhumation est celle qui est commune à toutes les religions. Vous pourrez comparer les tarifs d’un enterrement en rassemblant plusieurs devis demandés gratuitement en ligne en vue de retrouver rapidement celui qui correspond le plus à votre budget. Le budget nécessaire pour une inhumation repose donc sur les tarifs que proposent les opérateurs pour chacune de leurs prestations ; la nécrologie, les fleurs, les faire-part, les réceptions après les funérailles sont aussi des prestations annexes optionnelles. Dans la Drôme, un enterrement nécessite en moyenne 2 390 €. Pour des obsèques moyennes de gamme, il faut prévoir dans les 2 490 €, et pour les hauts de gamme, à partir de 3 190 €. La formule la moins chère est de 1 990 €. En outre, pour l’ouverture et la fermeture d’une tombe standard, il faut payer la somme de 720 à 900 €. La fourniture du cercueil fait partie des prestations obligatoires. Le prix moyen d’un cercueil en chêne avec capiton est de 1 240 €. Pourtant ; il peut occuper une grande partie du budget si l’on opte pour des cercueils de haut de gamme pouvant coûter jusqu’à 7 000 €. Le moins cher est celui confectionné dans du carton ou de la cellulose, à seulement 125 – 570 €. Toute fois, pour les personnes sans ressources, le cercueil peut être acquis gratuitement. En ce qui concerne les ornements funéraires, une vase funéraire par exemple, peut coûter entre 39 et 270 € tandis qu’un monument funéraire peut s’acquérir à partir de 950 €. Les plus chers coûtent dans les 4 600 €. Dans la Drôme, un caveau à 2 places coûte en moyenne 1 500 à 2 100 €, et un caveau à 9 places dans les 3 500 à 6 000 €. S’il coûte plus cher qu’une tombe en pleine terre, à long terme il est plus économique pour la famille, car on peut y effectuer plusieurs inhumations. Le coût d’une crémation dans la Drôme Le coût d’une crémation dépend des prestations retenues pour la cérémonie. L’usage d’un cercueil est obligatoire ; les formules proposées sur les différents services peuvent être adaptées aux besoins des clients. Il est moins coûteux que pour une inhumation. Les pompes funèbres proposent des tarifs variant entre 1 480 et 2 250 €. Les frais de crémation sont estimés entre 150 à 580 €. Louer un funérarium dans la Drôme Le funérarium ou chambre funéraire est un lieu public ou privé, aménagé pour conserver le corps jusqu’à la mise en bière avant les obsèques. Il permet aux proches du défunt de se recueillir en paix et de recevoir un plus grand nombre de personnes, surtout si la demeure du défunt est trop exiguë. Il est géré par une agence de pompes funèbres ou par une régie municipale. Le tarif du transfert du corps vers la chambre funéraire est évalué entre 155 et plus de 270 €. Le coût d’entrée en funérarium est de 75 à 150 €. Généralement, les agences exerçant dans la Drôme proposent un forfait de location entre 160 et 270 € pour une durée d’occupation de 3 jours. Trouver un crématorium dans le 26 Les Drômois qui choisissent la crémation comme type de sépulture peuvent recourir aux services de 3 crématoriums exerçant dans le département. Le crématorium de Valence Situé au 650, chemin de Clairac à Beaumont lès Valence dans la zone des Perrot, ce crématorium a été rénové en 2017. Il comporte deux grandes salles de recueillement et un salon des retrouvailles pour permettre aux familles de se réunir pour un temps de convivialité, avant l’accueil au crématorium et après la cérémonie. L’une des grandes salles possède des échappées visuelles sur les extérieurs aménagés. La crémation d'un cercueil coûte aux alentours de 483 € dans ce crématorium. Le crématorium de Montélimar Situé au chemin Gardes dans la ville de Montélimar, le crématorium a été ouvert au public en 2015. Il dispose de 40 places de stationnements. Le bâtiment comporte deux parties distinctes, l’une destinée à l’accueil et au recueillement des familles, et l’autre réservée au personnel et aux agences de pompes funèbres. La partie réservée au public comporte une salle de cérémonie pouvant accueillir 100 personnes ; une salle de remise des urnes, une salle de visualisation et une espace de convivialité. L'établissement applique un tarif de 760 euros pour la crémation d'un cercueil. Pompes funèbres dans le 26 Drôme Aperçu sur le Département de la Drôme 26 Située dans le quart sud-est de la France, la Drôme est un département français qui fait partie de la région d’Auvergne Rhône-Alpes. Elle tire son nom de la rivière du même nom qui la traverse. L’INSEE lui attribue le code 26. Ses habitants sont les Drômois. Sa préfecture est Valence et ses sous-préfectures, Die et Nyons. Il est subdivisé en 3 arrondissements, 4 souscriptions législatives, 19 cantons, 10 intercommunalités et 367 communes. La Drôme, un département à faible densité et une population à forte croissance En 2015, la Drôme comptait selon l’INSEE, 504 637 habitants pour une densité de 77 hab. /km2, pour une superficie de 6 530 km2. Cette densité est inférieure à celle de la France qui est pour la même année, de 100,5 hab. /km2. L’agglomération se concentre dans l’arrondissement de Valence, là où l’on recense plus de 63 % de la population totale du département avec une densité de 159 hab. /km2.. La démographie de la Drôme est aussi caractérisée par une population à forte croissance. Entre 1999 et 2007, cette dernière s’est accrue d’à peu près 4 500 personnes par an, mais se différenciant suivant les communes. La variation moyenne de la population est positive, passant de 0,8 % à 1 % tandis que le solde naturel annuel a baissé, passant de 0,5 % à 0,4 %. Il s’agit de la différence entre le nombre de naissances et le nombre de décès enregistré au cours d’une même année. En effet, la baisse du taux de natalité, passant de 12,4 %, n’est pas compensée par une baisse du taux de mortalité passant de 10,9 % à 8,9 % au cours de la même année. En d’autres termes, le solde naturel est positif, car le nombre de naissances ne cesse d’augmenter par rapport au nombre de décès qui diminue. Le flux migratoire est également positif et en croissance au cours de la même année, passant de 0,2 à 0,6 %. La population du département est un peu plus âgée que celle de la France tout entière. En 2007, la proportion des personnes d’âge supérieures à 60 ans est de 23,5 %, alors qu’il est de 21,5 % au niveau national.
Le 18 juin dernier, Olivier s'est élancé à l'assaut de la RAF pour la deuxième année consécutive. Fervent défenseur et grand consommateur de nos produits Holyfat, cette traversée de la France est d'autant plus riche de sens pour nous qu'Olivier la réalise en régime cétogène. Une belle démonstration de l'efficacité des lipides pour les sports d'ultraendurance. Revivez son épopée dans cet article poignant Ma Race Across France 2022 passer entre les gouttes, d'Olivier Maria, que vous pouvez retrouver sur son site internet Low-Carb Frenchie . "L’année dernière, lorsque je suis arrivé au Touquet après avoir pédalé 2500 km, ma première phrase fut plus jamais ça ». L’aventure avait été si belle, mais aussi tellement éprouvante. Et puis les mois sont passés, les copains partageaient les photos, se réinscrivaient, et l’organisation annonçait que le parcours changeait de sens pour partir cette année du Nord et terminer à Mandelieu, au bord de la Méditerranée. Je ne sais si c’est ma mémoire sélective qui me fit penser uniquement aux moments de joie et oublier les galères mais me réinscrire sur la grande distance fut comme une évidence pour année, je partais avec peu de kilomètres dans les jambes 5000, la faute à une première partie d’année d’avantage orientée course à pieds et en prenant le départ, je pensais naïvement que l’expérience de l’année dernière me permettrait de rejoindre la ligne d’arrivée sans trop d’encombre au prix de courtes nuits et de longues heures de selle. C’était sans compter sur une météo déchainée tout au long du parcours et à un tracé légèrement modifié qui ne laissa que très peu de répit au corps et à la les premières heures de course furent grandement facilitées par un vent dans le dos qui nous propulsa vers la Picardie puis la Normandie. Je tutoyais encore les 30km/h de moyenne après 3h de course. Mais les orages au loin s’approchant à grand pas effacèrent cette excitation des premiers kilomètres. En plein milieu de la nuit, nous voila alors pédalant sous une pluie intense, les éclairs illuminants l’infini pour s’abattre non loin de nous. Le ciel en furie me maintenait éveillé sans mal et je ne fermais pas l’œil de la nuit. Je passais le Pont de Normandie à 3h15 du matin, lui qui m’avait causé tant d’angoisses l’année dernière lorsque les bourrasques de vent me projetaient presque sur la route traversée par ces gigantesques monstres sur roues. À cette heure-ci, il est désert. Le jour se levant enfin mais la pluie nous accompagne encore. J’ai le plaisir de constater que ma veste de pluie est bien étanche, mais je ne réalise pas encore que rouler tant d’heures les pieds mouillés va devenir très problématique pour la suite de l’ soleil sort enfin et j’arrive au Mont-Saint-Michel km 474 à 13h30. Je ressens les premiers signes de fatigue et je fais une sieste de 8 minutes avant de repartir. Je continue en direction de St-Malo avant de commencer ma longue diagonale vers les 18 juin, 18h31. C’est le moment de s’élancer à nouveau pour une semaine d’ le départ, je m’étais fixé l’objectif de parcourir 400 km par tranche de 24 heures avant d’arriver dans les Alpes. Après un tour de cadran, mon compteur indique 588 km. Je réalise que je suis parti en trombe mais je continue sur ma lancée. J’arrive au Check Point du km 655, à Quelaines-Saint-Gault, en Mayenne à 21h45. J’y dors 2h30 avant d’y repartir à minuit et demi. Contrairement à l’année précédente, deux bases de vies sont placées sur le parcours entre le Touquet et les Alpes. Je profite du confort des lits de camp en intérieur pour reprendre des forces les deux premières nuits. J’arrive au CP2 de Gueugnon km 1122 le lundi à 23h21 et je repars 3h30 plus tard. J’espérais que les premiers jours me permettent d’enchainer des kilomètres faciles afin d’arriver frais » dans les Alpes mais il n’en était rien rien le nouveau parcours était bien plus vallonné et donc plus difficile. Les lignes droites à perte de vue tracées comme des montagnes russes atteignent le mental à petit feu. Presque aucun commerce à l’horizon pendant deux jours. Un thermomètre qui grimpe toujours plus haut. Les Monts du Lyonnais puis de l’Ain, me voici enfin en Savoie, sur les rives du Lac du Bourget. 19h30, la traversée des Bauges comme échauffement et me voici enfin dans les Alpes, au pied du très exigeant col de la Colombière. Je réalise que ma veste de pluie s’est fait la malle. Heureusement que j’ai encore ma doudoune, espérons qu’il ne pleuvent pas trop dans les Alpes. J’enchaîne les kilomètres dans la nuit noire pour arriver au sommet à 2h du matin. Je fais une sieste de 10 minutes au sommet pour entamer la descente en toute sécurité. Il est déjà tard dans la nuit et la vallée de l’Arve entre Cluses et Sallanches est interminable. Il reste alors 500m d’ascension pour atteindre la base de vie de Megève, il pleut à grosses gouttes et les pourcentages sont parfois terribles, presque trop pour mon 36×34. J’arrive enfin à Megève à 5h du matin, bien entamé. Seule l’idée d’un abris et d’un lit confortable m’a donné la force nécessaire pour avancer jusqu’à là . Il faut que je dorme et je profite d’une bonne douche chaude avant de fermer les yeux. 9h30. Je suis devant les grilles de l’Intersport de Megève pour son ouverture. Je repars avec une veste de pluie à 17,99€, elle me sera d’une utilité sans faille jusqu’à l’arrivée. Au moment de repartir, je suis fébrile en pensant aux monstres de granite qui me feront face pendant deux jours. Les Saisies ouvre le bal, puis le Cormet de Roselend avant de débuter le gigantesque Iseran et ses 2770m d’altitude. Après quelques kilomètres d’ascension, un orage terrible s’abat sur moi. La route se transforme rapidement en torrent qui dévale la pente alors que je fais ce que je peux pour avancer à contre-courant. Par chance, cette épisode ne dure pas longtemps. Je ne vois pas le message de l’organisation qui demande de s’arrêter et je continue la longue montée j’arrive au col à 19h30. Km 1657, 4 jours et 1h de course. Quelques photos et il faut vite redescendre, où les températures sont plus clémentes. La descente est longue mais permet de souffler un peu. Avant le prochain col, la traversée de la vallée de la Maurienne est interminable -et dire que je l’ai fait dans le sens de la montée l’année dernière…Arrivé à St-Michel-de-Maurienne à 22h30, j’entame les 850m de dénivelé du Col du Télégraphe. Mes pieds, qui ont pris la pluie trop longtemps depuis le début deviennent si douloureux qu’il en devient impossible pour moi de pédaler. En réalité, mes plantes de pieds ont gonflé à cause de l’eau, au point de former des crevasses de plusieurs millimètres de profondeur. Je suis en perdition, pédalant les pieds en dehors des chaussures quand Hugues, mon coéquipier de la Team Ultra arrive à ma hauteur. Je serre les dents et m’accroche pour terminer cette montée mais elle est si longue. On arrive à Valloire vers minuit, à quatre cyclistes. Très courte nuit sur la terrasse d’un restaurant avant de nous élancer pour la montée du Galibier vers 3h. Mes plantes de pieds ont légèrement dégonflées. Nous avons la montagne pour nous et la montée est agréable. Il fait frais, le silence nous entoure. Sommet à 5h du matin, premières lueurs du jour, magnifique spectacle. Le calme de cette première ascension ne laisse rien présager de la brutalité de la journée qui s’annonce. Le col de Sarenne jusqu’à l’Alpe d’Huez puis le Glandon sous la canicule sont extrêmement difficiles. Je souffre énormément. De plus, les irritations à la selle apparues dès le deuxième jour ne me lâchent toujours pas. Je vide des tubes de crème et serre les dents pour la descente du Glandon, je vois au loin des cyclistes arrêtés, un vélo à terre. Je crains le pire. Je reconnais au loin les deux participants qui font équipe ensemble, que j’ai souvent croisé depuis le départ et avec qui j’ai grimpé le Galibier cette nuit. Je m’arrête à leur côté ça va ? » – non, je me suis cassé la clavicule… » Je suis sous le peut s’arrêter en une fraction de seconde d’inattention ou de malchance. 20 minutes de descente plus tard, je croise l’ambulance qui monte comme une furie, toutes sirènes croise la route d’Eric dans le Col du Grand Cucheron, alors qu’on contourne Belledonne avant d’atteindre Grenoble. On fait connaissance. Le 1000 km est son premier ultra et il a du mal. On se motive tous les deux pour continuer à avancer alors que le thermomètre est au plus haut. C’est à ce moment là qu’il me dit tu as vu qu’il y a eu un mort ? »Une heure plus tôt, on a reçu un message de l’organisation nous annonçant la nouvelle. Un homme est mort, fauché par un chauffard faisant un tout droit dans un rond point à Mâcon. C’était mercredi 22 juin. Il avait 56 ans et n’avait rien demandé à personne sinon de faire du n’avais pas vu le message. Je suis sans ce moment là , je comprends que la course telle que je la concevais depuis le départ est finie. Que le manque de sommeil qui est notre plus coriace adversaire ne peut justifier de nous mettre en danger. Qu’une hypothétique place dans un classement dont personne ne se souviendra ou deux heures de plus sur un chrono ne peut autoriser le moindre convient avec Eric de dormir à l’hôtel à Grenoble mais je le perds au prix d’un nouvel orage féroce. J’essaie de retrouver ses coordonnées en vain. J’espère que ça va aller pour sommes partis depuis 5 jours et je mange mon premier repas assis. Je suis devant la supérette Proxi, sur le trottoirs, seul avec ma salade en boite et mon Coca Zéro. Depuis le départ, j’ai mangé tous mes repas sur le vélo pour ne pas perdre de temps. L’emprise mentale du chronomètre qui ne s’arrête jamais me pèse. Les évènements tragiques dont j’ai été témoins aussi. J’arrive à l’hôtel aux abords de Grenoble et je partage finalement la chambre avec Hugues. Une bonne douche, un lit confortable je ferme les yeux et je m’endors immédiatement jusqu’à que le réveil ne sonne à 4h le lendemain. Il pleut des cordes dehors. Je ne veux plus, je ne peux plus rouler sous la pluie. Mes pieds me l’interdisent. On repart à 6h alors que la pluie a cessé pour traverser le Vercors. Les Combes Laval sont toujours aussi majestueuses, elles sont cette année encore dans mon podium des plus beaux paysages du parcours. Après m’être pris une tempête terrible pendant 5 kilomètres, j’arrive au CP de St-Jean-en-Royans à 11h. Je m’étais juré de m’arrêter à la moindre averse mais l’appel du CP était trop fort. Je peux au moins mettre les chaussettes sèches que j’avais laissé dans mon décide de ne pas m’arrêter longtemps. Au moment de repartir, je ne trouve plus mon compteur Garmin que j’avais dans la main 5 minutes plus tôt. Panique. On remue toute la base de vie avec les bénévoles mais rien n’y fait. Incompréhensible. Je ne sais pas quoi faire et me résous à repartir avec Komoot sur mon téléphone mais Simon, qui vient d’abandonner me propose de me prêter le sien pour terminer. Je n’en reviens pas. Je lui dois ma fin de course, je sais que la fin du parcours va être très difficile. La chaleur de la Provence, la route qui n’est plus jamais plate… De plus, je souffre d’une tendinite au talon d’Achille gauche qui agit comme une douleur diffuse qui se réveille à chaque reprise de pédalage après 2 minutes d’arrêt. Cette blessure rajoute une difficulté dont je me serais bien passé pour le sprint final des 500 derniers kilomètres. Au réveil le lendemain de l’arrivée, je ne peux plus journée passe et je suis au pied du Ventoux à 21h. Je sais qu’il me faudra 3h pour monter et j’arrive au sommet à minuit. Je croise plusieurs participants pendant l’ascension et on termine avec Pierre. Discuter me fait du bien. Nous avons le géant de Provence pour nous seuls, le spectacle est magique. La descente est glaciale même en ayant enfilé toutes mes couches et mon tour de cou. La pente vers Bedouin est si raide et je prends toutes les précautions pour rester sur le vélo. La descente est longue. L’approche vers la base de vie du Bed n Bike de Mormoiron aussi mais j’arrive enfin. Je croise Alvaro, fondateur de Holyfat qui terminera le 1000 km avec succès le lendemain. J’essaie de dormir dehors mais je suis congelé dans ma doudoune. Je me mets à même le carrelage, entre les cyclistes entassés, le confort est inexistant et je dors très mal. Le réveil sonne à 4h. J’ouvre la porte des sanitaires et je tombe nez à nez avec Simon, le visage en sang, soigné par une infirmière. Je suis à nouveau ébahit par la scène. On a longtemps roulé ensemble lors des premiers jours et Simon n’a pas l’air d’aller. Il est tombé dans la descente du Ventoux. Une semaine plus tard, je ne réalise toujours pas qu’il terminera finalement la course quelques heures après moi avec un courage sans dernier jour, je lutte encore contre ma douleur au talon qui se fait de plus en plus envahissante. Le terrain est difficile, en faux plat montant pendant 200 km. Les gorges du Verdon sous la canicule sont épuisantes et les voitures qui doublent sans respecter de distance de sécurité me rendent fou, surtout après tout ce qu’il s’est passé ces derniers jours. Je me dis que c’est ma dernière épreuve d’ultra sur route. On verra. Les deux ou trois derniers cols sont longs car la tête est déjà à l’arrivée, pourtant il faut encore pédaler. Les derniers faux-plats avant la descente vers Grasse puis Mandelieu semblent interminables. Je retrouve par hasard mon collègue Alexis qui fait une performance tonitruante pour son premier 500km. On fais les derniers kilomètres termine finalement un peu après 22h le samedi, après environ 7 jours et 3 heures de course. Au moment de poser le vélo, une multitude de sentiments se mélangent dans ma tête. Je suis bien sûr heureux d’être arrivé au bout de cette course donc la solide mâchoire s’est refermée sur plus d’un concurrent. Passer la ligne d’arrivée, c’est avoir su déjouer tellement de pièges que c’est un exploit en suis également fier du temps que j’ai mis. Presque 15 heures de moins que l’année dernière, même si j’étais moins fort physiquement, ma courte expérience était mon principal allié. Je fais 3 heures de trop pour faire moins de 7 jours comme je le souhaitais avant le départ, mais honnêtement, je ne sais pas si j’aurais pu arriver à les édition a été endeuillée par le décès d’un concurrent et par de trop nombreuses chutes et blessures. J’ai alors eu besoin de prendre mes distances face à la performance pure. Quand je me demandais ce qui pouvait justifier de se mettre en danger pour faire la course, je n’arrivais pas à trouver les réponses. Tout comme ces paysages magnifiques que j’ai traversé dans un tel état de fatigue que je n’en ai pas apprécié le moindre centimètre carré. Tout comme le Mont Saint Michel, le Château de Chambord ou le Lac de Roselend, que j’ai croisé sans m’arrêter pour ne pas perdre de à une course d’ultra-distance, c’est sillonner une quantité de paysage à une vitesse incroyable. C’est sentir le terrain changer à chaque tour de roue, se réveiller dans Loire pour s’endormir au pieds des Alpes le lendemain. Mais c’est aussi seulement s’habituer à son nouvel environnement qu’il faut déjà lui dire au revoir sans vraiment en avoir profité. Participer à une course d’ultra-distance, c’est accepter se dire, la prochaine fois que je prendrais mon vélo, je ne ferais pas la course mais je prendrais le remercie la Team Ultra pour le soutien ainsi que Van Rysel pour le vélo sur lequel j’ai pris beaucoup de plaisir à rouler !" lowcarbfrenchie Ever heard of HOLYFAT sugarfree products ?
Barrage du championnat Fédérale 2 A Saint-Jean-en-Royans Saint-Jean-en-Royans bat 24 à 19 mi-temps 18-3 Pour Saint-Jean-en-Royans 2E Debaud 1re, Liki 33e, 1T Bard 34e, 4P Bard8e, 16e, 59e, 66e Carton Rezgui jaune 40e Saint-Jean-en-Royans Lacour, Liki, Dall’Igna, Hunt, Rezgoui, o Bard, m Allegre, Heraud, Debaud, Loutongo, Truchet, Gontier, Lefebure, Faure, Chaleon. Sont entrés en jeu Bouix, Bellier, Brielle, Matin, Bodin, Saporito, Lhopiteau Pour Millau 1E Perraux 62e, 1T Escalais 62e, 4P Escalais 3e, 43e, 47e, 70e Millau Perraux, Delouis, Casellas, Vergne, Castellarin, o Escalais, m Guionnet, De March, Coste, Vialaret, Mezair, Naudan, Damigrinti, Auzuech, Ochoa. Sont entrés en jeu Susigan, Nilsson, Abdelkader, Garcia, Bourrel, François, Hautcœur Carton Casellas jaune 40e Les savants calculs de la FFR n’ayant pas permis aux Millavois de recevoir au Parc des Sports pour leur match de barrage, et ce pour un demi-point, ils se déplaçaient donc dans la Drome pour y affronter le Sporting Club de Saint-Jean-en-Royans, club jouant dans la poule 4 et ayant fini 4e de poule. Tâche très difficile donc pour les hommes de Majorel et Petit face à un XV réputé pour son pack très solide et difficile à manœuvrer à domicile comme le démontre sa seule défaite concédée face à Annonay lors de la première journée. Et de fait, cela allait plutôt mal commencer pour les Millavois qui allaient encaisser un essai dès la 1re minute par le 3e ligne Debaud à la conclusion de plusieurs temps de jeu. Fort heureusement, le buteur Escalais convertissait une pénalité qui remettait les Millavois dans le match. Mais en ce début de rencontre, les Somistes étaient dominés et concédaient deux pénalités transformées par Bard et pire, à quelques minutes de la mi-temps, les Millavois encaissaient un essai par l’ailier Liki et transformé par Bard. Cela commençait à faire beaucoup pour espérer inverser la tendance. C’est donc sur le score de 18 à 3 que l’arbitre sifflait la mi-temps, suite à un premier acte dominé par les locaux, mais qui ne condamnait pas encore les chances des Aveyronnais nullement surclassés. D’entrée de 2e mi-temps, les somistes revenaient avec d’autres intentions et marquaient coup sur coup deux pénalités par Escalais. Les Royannais répliquaient par Bard sur pénalité avant que le capitaine Perraux ne marque un super essai, transformé par Escalais. A ce moment du match les Millavois revenaient à 5 petits points des Dromois et commençaient à y croire. Malheureusement, quatre minutes plus tard, les locaux se redonnaient de l’air grâce à une pénalité de l’inévitable Bard. Mais les Millavois ne lâchaient rien et Escalais transformait une nouvelle pénalité qui redonnait l’espoir à son équipe et 10 minutes à jouer. Cependant dans les arrêts de jeu, les Millavois allaient avoir plusieurs balles de match sous la forme de pénal-touches dont l’une allait derrière la ligne pour un essai malheureusement refusé par l’arbitre pour une passe en avant. Finalement, après avoir campé 20 bonnes minutes dans les cinq mètres adverses, les Millavois ne parvenaient pas à passer la ligne et s’inclinaient donc sur le score de 24 à 19 au terme d’un match qui leur laissera beaucoup de regrets d’autant que cette défaite signe leur fin de saison.
avis de deces st jean en royans